How Do You Eat an Elephant?

There’s this old saying: How do you eat an elephant? One bite at a time. It’s a reminder that everything is manageable if we break it down into smaller pieces, or… baby steps. I’ve been thinking about that a lot lately as I find myself swimming in an ocean of big, sprawling ideas.

It started with one thought. Paris Hilton, of all people. The last blog post I published was about how her brand of fame shaped modern celebrity culture. I experienced some pushback from a few readers, which led me to think of doing a follow-up post about why I think she symbolizes much more problematic issues in our society. Before I knew it, I was tugging at a thread that unraveled into everything from surrogacy to coping mechanisms brought on by trauma, the avoidance of phsycial and mental discomfort and uncomfortable truths, to the deeper cultural shifts that make me want to shout into the void. Suddenly, I wasn’t just writing a post—I had the outline for a whole book, which wasn’t at all where I wanted to focus my energies tonight.

But here’s the thing: I want to write that book. Eventually. It addresses some issues I’ve been tackling for the better part of my life. But if I sit down and try to tackle the whole beast at once, it’ll for sure get the better of me, and I doubt I’ll manage to bring such a project to fruition. So instead, I’m taking the elephant-sized idea and carving it up into smaller, easier-to-digest bites.

This post is one of those bites.

Some days, I’ll write about celebrity culture and the insidious ways it seeps into our lives. Other days, I’ll talk about art, grief, or the funny little moments that make up my life. It won’t be linear, but that’s fine. Life rarely is, and my mind is too expansive to try to contain all the ideas swirling in it into one specific format. I’m not here to serve a five-course meal of perfectly plated ideas. Much less serve it all at the perfect temperature (something I’ve not yet managed to achieve… how do they manage to serve all diners perfectly hot food at the restaurant anyway). I’m here to share what’s on my mind—piece by piece.

As I reflect on all these interconnected threads, from celebrity culture to deeper cultural shifts, I’m also grappling with larger issues. Issues that have sparked dangerous consequences in the West. There’s an undeniable link between the cultural decay of the West and how it fuels the forces that threaten the stability and values we take for granted. And, while I might start with a simple thought on fame or societal trends, this larger, ongoing decay has real-world impacts — and consequences — that can’t be ignored.

So, if you see me jump from dissecting social media fame to reflecting on a walk I took through Montreal, just know—it’s all part of the same feast.

Let’s eat.


The image above was created with the assistance of AI, inspired by Hindu cosmology. The elephant atop the turtle represents the world, symbolizing the cosmic foundation and balance of the universe.

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6 responses to “How Do You Eat an Elephant?”

  1. […] un nouvel article de ma fille qui prend d’assaut un monde dont je connais l’existence, sans plus, celui […]

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    1. tbearbourges Avatar

      Je ne connaissais pas le dicton et je l’aime beaucoup. Hier j’ai été invité à diner par un de mes fils chez un épicier/traiteur oriental. Nous avons commandé et dégusté un shish taouk identique mais pas à la même vitesse. Il l’a avalé en 3 minutes… environ… alors que pour moi rendu à mon âge ce fut l’éléphant que je dûs déguster par petite bouchées, ce qui lui donna le temps de répondre à tous ses courriels.

      Autre image que ton blog ressuscite dans ma mémoire : la traversée de prairies aux hautes herbes. À l’arrivée en me retournant ça ma toujours intrigué de voir que mon tracé n’était jamais en ligne droite même si je n’avais jamais quitté des yeux mon objectif. Je me suis aperçu que la droite n’existe nulle part dans la nature, c’est une invention géométrique abstraite de notre culture de Sapiens Sapiens qui nous est imposée dès notre petite enfance.

      Quelques écrivains célèbres y ont échappé comme Robert Louis Stevenson dans son “voyage avec un âne” ou surtout le grand Kundera dans la plupart de ses livres où, comme un promeneur, il s’arrête sur le chemin de son récit pour réfléchir et philosopher et encore plus proche de nous Valérie Perrin que j’aime beaucoup. Alors chère Ilana ne t’excuse surtout pas de ne pas suivre un trajet strictement linéaire et j’ai hâte de te lire.

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      1. Smiler Avatar

        Ça me touche beaucoup que tu me lises si assidûment et tes commentaires me sont précieux. J’avais tans aimé L’Insoutenable Légèreté de l’être quand je l’avais lu autour de mes 16 ans. Je n’en ai qu’un vague souvenir maintenant mais il m’a sans doute beaucoup influencée.

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      2.  Avatar
        Anonymous

        Merci c’est tout un plaisir pour moi de te lire car tu as une très belle plume comme ta maman mais avec des personnalités différentes évidemment. La tienne se révèle en ce moment avec une sensibilité et une sincérité qui me touche beaucoup. C’est rare de voir quelqu’un se dévoiler comme tu le fais. Bravo 🤩 🧸

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    2. tbearbourges Avatar

      Je ne connaissais pas le dicton et je l’aime beaucoup. Hier j’ai été invité à diner par un de mes fils chez un épicier/traiteur oriental. Nous avons commandé et dégusté un shish taouk identique mais pas à la même vitesse. Il l’a avalé en 3 minutes… environ… alors que pour moi rendu à mon âge ce fut l’éléphant que je dûs déguster par petite bouchées, ce qui lui donna le temps de répondre à tous ses courriels.

      Autre image que ton blog ressuscite dans ma mémoire : la traversée de prairies aux hautes herbes. À l’arrivée en me retournant ça ma toujours intrigué de voir que mon tracé n’était jamais en ligne droite même si je n’avais jamais quitté des yeux mon objectif. Je me suis aperçu que la droite n’existe nulle part dans la nature, c’est une invention géométrique abstraite de notre culture de Sapiens Sapiens qui nous est imposée dès notre petite enfance.

      Quelques écrivains célèbres y ont échappé comme Robert Louis Stevenson dans son “voyage avec un âne” ou surtout le grand Kundera dans la plupart de ses livres où, comme un promeneur, il s’arrête sur le chemin de son récit pour réfléchir et philosopher et encore plus proche de nous Valérie Perrin que j’aime beaucoup. Alors chère Ilana ne t’excuse surtout pas de ne pas suivre un trajet strictement linéaire et j’ai hâte de te lire.

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